ELLE avait quitté la chambre, trés troublée par ce qu'elle venait de ressentir (voir "Songe d'un après-midi d'été ?").

Elle a pris au passage le paréo posé sur une chaise et le noue autour du cou avant de se diriger vers le jardin

Là,  elle s'allonge sur le bain de soleil au milieu de la pelouse ; le paréo lui cache le haut des cuisses... "Je ne serai pas trop indécente si quelqu'un arrive à l'improviste, même si je n'ai rien en dessous", se dit-elle.

Elle ferme les yeux. La douce chaleur de l'astre solaire la baigne doucement.

Au bout de quelques minutes, des gouttes de sueur ruissellent sur sa peau sous le tissu léger ; elle écarte légèrement les pieds, de chaque côté de la chaise longue, pour permettre à l'air de circuler le long de ses jambes...
Le mouvement ouvre les pans du paréo et découvre plus largement ses cuisses au galbe parfait. 

(à suivre)