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Dessin de Yv
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Dessin de YV
Offerte au Soleil, sa vulve s'est complètement ouverte (voir l'épisode précédent)
ELLE a un brasero entre les cuisses... Elle meurt d'envie que le soleil lui fasse l'amour en la dardant de ses rayons brûlants jusqu'au fond de son vagin...
Mais... que sent-elle là ? (Un petit clic sur l'image pour voir....) Il lui semble qu'un papillon vient se poser sur son sexe. Le léger battement de ses ailes qui effleurent son bouton excite encore plus son envie...
C'est avec plaisir qu'elle accueille la trompe qui s'inserre entre les lèvres chaudes et humides pour butiner avec avidité le nectar de cette belle pivoine épanouie....
Comme dans ce poème de Marie-France Guerrier... '"La rose et le papillon"...
Que l'amour timide et perplexe
Laisse son corset puritain,
Qu'il libère sans complexe
Pour jouir comme un libertin.
Viens aux pétales de mon sexe,
A son clitoris de satin,
A sa douce fente convexe,
Butiner le suc opalin.
Puisque dressée en un réflexe,
Ta trompe, papillon lutin,
Baise ma bouche circonflexe
Et la fait boire à son festin.
LUI approche doucement ses lèvres de la fleur épanouie. Avec sa langue pointue il effleure son bouton. L'odeur du sexe de sa belle est enivrant…IL se délecte des premières gouttes de rosée qui suintent entre les lèvres.
Des milliers de frissons montent en ELLE si forts qu'elle ne peut retenir les gémissements qui s'échappent de sa gorge. Elle sort complètement de son rêve. Cette torture du désir lui plait tant qu'elle soulève son bassin. Tout ce qu'ELLE veut c'est sentir cette langue qui essaie d’écarter plus les portes du plaisir !
IL léche avec douceur les lèvres intérieures, chaudes et humides . Il désire l’entendre gémir encore plus, alors, il referme la bouche pour se saisir de son tendre bouton....
Elle est transportée par une aspiration de son petit bouton, douce et diabolique à la fois... Ce n'est pas seulement son clitoris, c'est elle toute entière qui se sent prise par cette bouche si avide... Elle est transportée par
cette caresse directe, douce et diabolique. Son corps ondule. Elle n'en peut plus ! De sa gorge sortent de longs soupirs d'extase. Elle gémit, pousse de petits cris...
La langue se durcit pour la pénétrer. C’est avec plaisir qu’elle l’accueille au fond de son antre. Tout son ventre est envahi de contractions
incontrolées. Le plaisir la submerge. Elle crie encore plus fort. Elle a beau se retenir, l'orgasme lui fait perdre toute conscience de ce qu'elle fait. Elle lâche un long cri strident
!
IL aime la sentir lacher prise ainsi totalement et se délecte du doux nectar, léchant la vulve ouverte, tout doucement, de bas en haut, ne laissant aucune goutte s'échapper...
(souvenez-vous : ELLE adore le Soleil .... un petit clic ici)
Puis ce sont les petites lèvres qui s'écartent, découvrant complètement l'orifice de son vagin qu'elle aide à s'ouvrir au maximum par des contractions du périnée...
Elle se sent pénétrée au plus profond de son intimité. Les yeux mis clos, elle est prête à jouir ainsi toute seule...
ELLE aide l'autre sein à s'échapper à son tour du tissu, et la fière et généreuse poitrine est maintenant entièrement exposée au soleil, le paréo se retrouvant rabaissé sur le ventre.
LUI est sorti dans le jardin et s'est approché du transat par derrière. Surpris et enchanté à la fois par le spectacle des tétons dressés devant lui, il est tenté de venir les sucer en se penchant par dessus l'épaule de sa belle quand il entend un petit gémissement rauque qui sort de sa gorge. De crainte de rompre le charme, il reste planté là, immobile et silencieux ...
ELLE savoure cet instant de plénitude ; les genoux bien relevés, elle fantasme un peu plus sur cette chaude caresse qu'elle ressent entre ses cuisses et qui gorge de sang ses grandes lèvres qui se gonflent et s'écartent d'elles mêmes....
Les rayons du soleil viennent maintenant caresser directement sa toison soyeuse. Instinctivement, elle ouvre un peu plus son entre-jambe... Elle aime cette chaleur et elle est prise d'une forte envie que les rayons du soleil la pénètrent doucement...
Passant une main derrière la nuque, elle permet au noeud du paréo de se distendre un peu et l'un de ses seins s'échappe aussitôt du tissu qui l'emprisonnait, et il s'offre lui aussi, bien tendu
vers l'astre solaire.
ELLE aime sentir la brise qui lui caresse doucement l'intérieur des cuisses, atténuant ainsi la morsure du soleil sur sa peau.
Elle écarte un peu plus les genoux pour permettre à l'air de circuler le long de ses jambes et savoure encore plus la caresse qui provoque une petite chair de poule dans les petits creux au dessous de l'aine, là où la peau est si fine, là où d'habitude ce sont les caresses de son amant qui la font frissonner... son amant qu'elle a laissé tout à l'heure endormi sur leur couche sans savoir si IL l' avait pénètrée dans son demi sommeil ou si elle avait rêvé.
Le mouvement qu' ELLE a fait a ouvert un peu plus les pans du paréo et a complètement découvert le pubis...
ELLE avait quitté la chambre, trés troublée par ce qu'elle venait de ressentir (voir "Songe d'un après-midi d'été ?").
Elle a pris au passage le paréo posé sur une chaise et le noue autour du cou avant de se diriger vers le jardin
Là, elle s'allonge sur le bain de soleil au milieu de la pelouse ; le paréo lui cache le haut des cuisses... "Je ne serai pas trop indécente si quelqu'un arrive à l'improviste, même si je n'ai rien en dessous", se dit-elle.
Elle ferme les yeux. La douce chaleur de l'astre solaire la baigne doucement.
Au bout de quelques minutes, des gouttes de sueur ruissellent sur sa peau sous le tissu léger ; elle écarte légèrement les pieds, de chaque côté de la chaise longue, pour permettre à
l'air de circuler le long de ses jambes...
Le mouvement ouvre les pans du paréo et découvre plus largement ses cuisses au galbe parfait.
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