ELLE s'emploie à bien astiquer le membre dressé avec son vagin parfaitement lubrifié par l'envie qu'elle ressent au plus profond d'elle même depuis qu'elle a entrepris ses caresses, manuelles et bucales, de la verge. Ses mouvements sont langoureux, tendres et intenses à la fois. Elle sent le sexe gonflé contre les parois de son vagin. Elle est toute entière remplie par lui, mais, en même temps, elle a le sentiment étrange que c'est elle qui le pénêtre, qu'elle est le mâle et lui la femme. Bien en appui sur ses cuisses, elle monte et descend sans jamais trop appuyer sur le pubis de son homme.

Un instant IL a essayé de la prendre par les hanches pour l'attirer contre lui, mais aussitôt, Elle lui a saisi les poignets pour les tenir prisonniers contre le lit... IL est complètement à la merci des mouvements qu'Elle gère à sa guise. Quelquefois, Elle fait glisser le pénis un peu plus profond en elle pour qu'il sente ses petites lèvres venir effleurer son pubis ; quand il se cambre pour garder le contact, ce mouvement a aussi pour effet d'exciter son clitoris. Elle prend garde que ça soit le plus bref possible car Elle pourrait jouir trop vite.

Ainsi perchée sur le corps de son amant ELLE se prend pour Andromaque chevauchant son Hector... Elle imaginerait presque des dizaines de mâles se masturbant en la regardant, comme le faisaient les esclaves phrygiens observant à la dérobée l'épouse du chef troyen. Ils seraient derrière les baies vitrées, ou alors une webcam braquée sur eux enverrait son image aux internautes de son carnet d'adresses de Messenger... Ces pensées l'excitent encore plus, mais elle n'oublie pas que son intention c'est... lui faire du bien à LUI, le rendre fou d'elle...

(à suivre)